jeudi 20 décembre 2007

Réquisitoire pour un Monde Virtuel 3d publique


Les mondes virtuels on la cotte depuis les débuts d’internet. Ils se multiplient se popularisent puis plafonnent ou disparaissent. De ActiveWorlds en passant par There.com de nombreux univers on tentés de percer via des technologie semi propriétaires souvent basé sur le VRML ou un des ses émules.

Les grands gagnant actuels sont sans contredit SecondLife et World of Warcraft lesquelles possèdent plusieurs centaines de milliers d’utilisateurs. Une des grandes nouveauté dans ces univers virtuelles est l’apparition de monnaie virtuelle apparenté à un système économique viable et des échanges souvent basés au bout de la ligne à de vrais dollars sonnants.

Alors qu’il y a à peine six mois, la plupart des grandes entreprises ouvraient des bureaux virtuels dans SecondLife, déjà la vague semble moins forte et en plus des rumeurs persistes sur le fait que les Lidden dollars soient dopés par une demande artificielle, la rué vers l’or semble belle et bien s’épuiser.

Devant tout ces monde-univers 3d fermés un point commun persiste. Ils sont entièrement propriétaires. Et cela est un grave frein au développement d’un vrai monde en ligne interconnecté laissant libre cours à une vrai économie de marché virtuelle laquelle seraient basé sur des vrais dollars.

Internet serait-il ce qu’il est actuellement si UNE SEULE compagnie étaient propriétaire de tout les serveurs qui hébergent les sites ? Les prix des hébergeurs Web serait-il aussi avantageux ? Enregistrer un nom de domaine coûterait ils seulement 10 $ ?

Est-ce qu’un compagnie aurait oser investir des millions de dollars sur une technologie propriétaire d’une compagnie même pas coté en bourse?

Poser ces questions c’est y répondre : NON. Rien de la vague Internet ne serait arrivé si le réseau était resté propriété d’une entreprise privé contrôlée avec des prix fixés par une pseudo économie virtuelle.

Pour voir l’émergence d’une vraie communauté 3d virtuelle, il faut absolument passer par une technologie libre de droit ainsi qu’un réseau à gestion indépendante sur bail session comme le sont les gestionnaires de nom de domaines actuels. Les protocoles sont nombreux. Le ip6 permet presque une infinité n’adresse fixe

Qu’attendons nous pour créer ce monde?

Une grille virtuelle basée sur les noms de domaines numérotés

La base de ce monde pourra facilement être encré sur un système avec des noms de domaines numérique. Il est possible d’enregistrer des numéros….pourquois s’en priver? Il ne resterait qu’à déterminer le point milieux : 0-0.com ou 0-0.org ? ou alors 100-100.com ou pourquoi pas 343-444.com. le coté à gauche du trait d’union correspond au X alors que l’autre correspond au Y. Avec les possibilités permises par les 27 caractères URL des registraires le nombre de casse virtuel est trop grand pour créer une spéculation, de plus personne ne sait où seront les vrais îlot intéressant.

Un nouveau navigateur serait nécessaire

Pour interpoler tous ces mondes dans une navigation fluide un nouveau type de navigateur serait nécessaire. Imaginons simplement un logiciel qui télécharge tout le temps en mode preview les 8 autre domaines autours du point courent. Ainsi que les 12 autre domaines dans la grille en mode preview minimal pour permettre une vision lointaine.