jeudi 27 mars 2008

Mondes Virtuel et le droit d’auteur

Les mondes virtuels sont en plein essor et déjà des interrogations majeures planent vis-à-vis du droit d’auteur dans ces univers de silicone. Le droit d’auteur classique semble totalement inutile devant les cas nouveau cas présentés.

Voici quelques exemples.

Vous avez un monde virtuel dans Second Life ou Active Worlds : Quelqu’un fait une saisie d’écran dans votre monde 3d : à qui doit-il demander la permission pour utiliser la photo ? À vous qui avez fait les objets 3d alors présents ou à la compagnie Second Life qui est en quel que sorte propriétaire de tout l’environnent?

Vous voulez diffuser de la musique en toute légalité dans votre monde numérique…à qui demander les droits?

Prendre une photo d’un édifice est hors du droit d’auteur dans la vraie vie puisque cet édifice est par définition public, mais qu’en est’ il de la reconstitution en 3d de ce même bâtiment ? N’est-ce pas là une reconstitution exacte du plan de l’édifice (lequel est protégé) ?

Les objets 3 D que vous allez reconstituer d’après les vrais seront’ il considérer comme une copie illégale ?

Peut importe quel sont les réponses, gageons que de nombreux procès surviendrons assez vite dans nos cours de justice bien réelles

lundi 10 mars 2008

L’avenir des mondes virtuels

Avec la monté en force dans les médias de Second life l’année passé, les mondes virtuels apparaissent en plein essor et au devant de la scène. Cependant, Pour avoir suivi les métavers depuis bientôt 7 ans, je suis à même de constater que ce genre de vague arrive environ tout les 2 ans avant de laisser ces mondes retomber dans l’oubli « médiatique ».

D’une vague à l’autre, les mondes proposés s’améliorent, les gens vont voir, de plus en plus nombreux ce qui retourne de ces mondes. Monsieur tout le monde se crée alors un compte dans Secondlife et devant l’accueil déficient de ce monde ou d’un autre, et devant le manque d’intérêt ou dû à l’inutilité de ces univers, notre usager délaisse son avatar aussi vite qu’il l’a créé.

Pourquoi les mondes virtuels sont délaissés ?

Je me suis souvent posé cette question. Pourquoi les mondes virtuels ne sont pas plus populaires que ce qu’ils sont en ce moment ? Moi qui sui un fan de la première heure de site comme ActiveWorlds et un fanatique de réalité virtuelle, je suis toujours resté surpris par le manque d’intérêt général devant ces mondes 3d (J’exclu ici les jeux tel World of Warcraft ). Il m’a toujours semblé que ces univers étaient pourtant fascinants !

He bien, je crois être sur une piste : C’est univers sont parfaitement sans valeur ajoutés, pour ne pas dire inutile. En bref, ils n’apportent absolument rien de nouveau par rapport au reste du web. Les gens peuvent chater, acheter sur d’innombrables sites. L’interface 3d n’apporte rien de plus à la communication, ou alors si peux (si vous considérer que faire danse un avatar est de la communication). Alors que pour ce qui est de l’interface 3d, elle est bien en dessous des standards des jeux électroniques. Se promener en volant dans Second Life devient vite ennuyeux.

Alors ma réflexion s’est poursuivie sur un avenir possible de ces univers…qu’est-ce qui rendrait vraiment possible l’adoption massive de ces univers ? Qu’est-ce qui serait vraiment possible dans ces mondes et nulle part ailleurs sur le Web ? En fait qu’est-ce qui fait que les usagers n’auraient pas le choix d’y aller ?

La formation, bouée de sauvetage des métavers

Voila une réponse. Ces univers 3d sont les seuls à pouvoir offrir un univers qui ressemble le plus à une salle de réunion ou de classe. Les mondes 3d sont pour la rencontre, ça on le sait, mais ce qui devient de plus en plus évident c’est que leur avenir se situe dans les rencontres de groupes. Alors que les coûts d’énergie augmentent sans cesse et que la mondialisation s’est occupée de transformer les relations commerciales d’une petite PME en géotour, les rencontres de gens de partout dans le monde sont devenus nécessaires. On ne chat plus avec quel qu’un d’un autre pays pour la simple rencontre mais parce qu’il est notre client ou notre fournisseur.

On peut observer quel que chose de similaire dans le monde de l’éducation. Les cours deviennent de plus en plus spécialisés et requiert parfois le déplacement dans une autre ville. Voila quelque chose de très couteux pour un entreprise et quelque chose me laisse penser qu’ils essayeront de couper la dedans d’ici les prochaines années car la formation continue n’est plus seulement histoire de cadre supérieure. Pour garder son équipe dans le coup, tous doivent être en constante évolution. Les domaines d’expertises sont trop pointues pour permettre à une PME de former ses employés de façon continu avec les ressources de la ville centre à portée. Les mondes virtuelles offriront cette solution à moindre coup.

L’autre utilisation en devenir des monde virtuel est l’affichage d’information complexe.

Du texte, des vidéos... des images...Voilà des formats d’information du millénaire précédent. À mesure que se développe notre économie du savoir, les informations qu’elles produisent deviennent de plus en plus sophistiquée. Un graphique 3D produit dans Excel atteint vite ses limites justement avec les trois dimensions. La science produit depuis longtemps des tableaux multi dimensions très difficile à rendre sur papier. Quand vient le temps de modifier les paramètres de ces grilles, l’effet sur les le reste des donnés est difficile à comprendre. Regardé pour cela du coté de la Recherche Opérationnelle. L’algorithme du Simplex est abstrait sur du papier. Maintenant imaginé les possibilités qu’offrent les trois dimensions et l’interactivité spatiale dans la manipulation de donnée ?

Déjà parmi les premières utilitées de la réalité virtuelle se trouvait des assembleurs de molécules. Par la simple manipulation, les gens comprenait à merveille les interactions possibles entre tel particule et tel autre….

Joignez la formation à distance avec la possibilité d’interagir avec des donnés complexe très sophistiqués et vous avez le futur des mondes 3D.

mardi 22 janvier 2008

Comment ne pas faire d’argent avec Adsense

Je me rend compte avec le temps que je n’ais pas appris grand-chose sur l’amélioration du placement ou autre truc avec la publicité Adsense de Google… En fait, À chaque fois que je tente une modification, mon revenu moyen baisse. En d’autre mots et avec un peut d’ironie voici le guide pour diminuer votre revenu adsense , cela va peut-être vous faire réfléchir

Alors voici ce que j’ai appris à ne pas faire !

1- Mettre plusieurs annonces sur une page

C’est la pire chose à faire, même si Google vous envois des messages pour vous y encourager, ne les écouter pas… votre taux d’efficacité va simplement baisser et la valeur des clic diminuer.

De plus, l’œil de votre visiteur sera méfiant et évitera les trop nombreuse boites de publicité

2 – Placer des annonces dans la colonne de gauche. En effet, pour en avoir discuter avec d’autre webmaster, c’est le pire endroit, vous y aurez un taux de clic épouvantable. Les gens ne regarde même plus cette zone tellement ils sont habituer à y voir de la publicité.

3 - Avoir des couleurs qui se remarquent.

Les annonces ne sont pas des autos sport ! L’idée est que l’internaute lise le titre de l’annonce avant qu’il se rende compte que c’est une annonce. La couleur vive envoie ce signal au cerveau : Votre regard doit éviter cette zone de texte.

4 – Placer des liens de parrainages

Définitivement, c’est avec ce genre de pub qu’on a le pire revenu et le moins stable. Ce genre de publicité est uniquement à l’avantage de l’annonceur.

5 – Placer une boite de recherche Google sur votre page d’accueil….

C’est un peut comme montrer la porte à vos inviter avant même qu’ils ne retire leur mentaux.

À suivre …..

Adsense, Le Web 2.0 et les compagnies automatiques (Ou compagnies IA)

Avec l’évolution récente de la publicité sur Internet et l’évolution des outils de gestion de contenu, Les compagnies automatiques deviennent de plus en plus possible.

D’abord; qu’entendons nous par compagnie automatique?

He bien il s’agit d’une société commerciale entièrement auto géré. De la ressource humaine (innexistante) aux paiements de facture, il est désormais possible de créer une compagnie entièrement indépendante de toute intervention humaine qui engrange des profils par divers moyens.

Dernière née dans ce type de technologie : Mecanical Turks, un site géré par Amazon ou il est possible de sous traité des micros tâches à des Humains de façon programmé. Ce genre de service rend encore plus facile l’exploitation de savoir d’un humain par un ordinateur.

L’autre « technologie » qui rend aussi le tout simple.. He bien il s’agit du Web 2.0. Au-delà du web communautaire, la plupart des grands sites web 2.0 sont d’abord et avant tout des sites dont le contenu est fourni par les utilisateurs. Quelle aubaine. Maintenant plus personne ne se pose vraiment la question avant de se faire une page Myspace ou de créer un compte Delicious…mais la réalité reste la même, en effectuant cela vous travailler pour quel qu’un d’autre et vous faite profiter de votre contenue à un site qui affiche des publicités sans vous rendre aucune contrepartie financière. C’est le modèle économique parfait. C’est le début de la compagnie Automatisée. Vous avez à ce compte besoin d’un minimum d’employé pour produire un maximum de valeur. À la limite, une fois l’entreprise lancée dans un contexte de stabilité du système, toute intervention humaine devient inutile.

Les compagnies comme Myspace et YouTube son trop gros pour être entièrement automatisé. Mais imaginez deux secondes un site qui a un achalandage stable, les gens créer leur compte seul et une régie publicitaire automatisé affiche et calcul le nom de clic et envoie un paiement par virement bancaire…Ajouter un site dont l’hébergeur se paye à même une carte de crédit… Vous n’avez plus besoin d’intervention humaine. En fait la seule personne qui aura besoin d’interagir avec cette entité est un avocat et un comptable. Des contacts qui peuvent très bien se donner automatiquement, le tout géré par un notaire payé par virement. Cela ressemble à une fiducie.

Bien sur il y a des limites légales à tout ca, aucun pays ne permet à une compagnie de n’être détenu par aucun être humain. À l’opposer, imaginez ce scénario; essayer d’évaluer le nombre de compagnies web ou de blog qui continueraient à fonctionner et rapporter de l’argent après la disparition de leur webmaster ou cyber journaliste ? Poser la question c’est y réponde : Beaucoup ! Certain des plus gros sites de l’heur continueraient à marcher d’après ce principe.

jeudi 20 décembre 2007

Réquisitoire pour un Monde Virtuel 3d publique


Les mondes virtuels on la cotte depuis les débuts d’internet. Ils se multiplient se popularisent puis plafonnent ou disparaissent. De ActiveWorlds en passant par There.com de nombreux univers on tentés de percer via des technologie semi propriétaires souvent basé sur le VRML ou un des ses émules.

Les grands gagnant actuels sont sans contredit SecondLife et World of Warcraft lesquelles possèdent plusieurs centaines de milliers d’utilisateurs. Une des grandes nouveauté dans ces univers virtuelles est l’apparition de monnaie virtuelle apparenté à un système économique viable et des échanges souvent basés au bout de la ligne à de vrais dollars sonnants.

Alors qu’il y a à peine six mois, la plupart des grandes entreprises ouvraient des bureaux virtuels dans SecondLife, déjà la vague semble moins forte et en plus des rumeurs persistes sur le fait que les Lidden dollars soient dopés par une demande artificielle, la rué vers l’or semble belle et bien s’épuiser.

Devant tout ces monde-univers 3d fermés un point commun persiste. Ils sont entièrement propriétaires. Et cela est un grave frein au développement d’un vrai monde en ligne interconnecté laissant libre cours à une vrai économie de marché virtuelle laquelle seraient basé sur des vrais dollars.

Internet serait-il ce qu’il est actuellement si UNE SEULE compagnie étaient propriétaire de tout les serveurs qui hébergent les sites ? Les prix des hébergeurs Web serait-il aussi avantageux ? Enregistrer un nom de domaine coûterait ils seulement 10 $ ?

Est-ce qu’un compagnie aurait oser investir des millions de dollars sur une technologie propriétaire d’une compagnie même pas coté en bourse?

Poser ces questions c’est y répondre : NON. Rien de la vague Internet ne serait arrivé si le réseau était resté propriété d’une entreprise privé contrôlée avec des prix fixés par une pseudo économie virtuelle.

Pour voir l’émergence d’une vraie communauté 3d virtuelle, il faut absolument passer par une technologie libre de droit ainsi qu’un réseau à gestion indépendante sur bail session comme le sont les gestionnaires de nom de domaines actuels. Les protocoles sont nombreux. Le ip6 permet presque une infinité n’adresse fixe

Qu’attendons nous pour créer ce monde?

Une grille virtuelle basée sur les noms de domaines numérotés

La base de ce monde pourra facilement être encré sur un système avec des noms de domaines numérique. Il est possible d’enregistrer des numéros….pourquois s’en priver? Il ne resterait qu’à déterminer le point milieux : 0-0.com ou 0-0.org ? ou alors 100-100.com ou pourquoi pas 343-444.com. le coté à gauche du trait d’union correspond au X alors que l’autre correspond au Y. Avec les possibilités permises par les 27 caractères URL des registraires le nombre de casse virtuel est trop grand pour créer une spéculation, de plus personne ne sait où seront les vrais îlot intéressant.

Un nouveau navigateur serait nécessaire

Pour interpoler tous ces mondes dans une navigation fluide un nouveau type de navigateur serait nécessaire. Imaginons simplement un logiciel qui télécharge tout le temps en mode preview les 8 autre domaines autours du point courent. Ainsi que les 12 autre domaines dans la grille en mode preview minimal pour permettre une vision lointaine.

mardi 14 août 2007

Google OS Beta Système d’exploitation Internet: Nous y sommes déjà

Les choses vont vites dans la planète Internet, parfois les choses changent et nous en rendons à peine compte.

Le Web 2.0 est déjà rendu une expression désuète, MSN tente par tout les moyen de devenir numéro 2 de la recherche Internet (ils n’en sont pas au bout de leurs peines) alors que pendant ce temps Google avance tranquillement vers une plateforme Web intégré qui feraient de Word et Excel des reliques du temps ou les logiciels étaient payants.

Maintenant avec un compte Google il y a de plus en plus moyen de se passer des logiciels de Microsoft. En effet, maintenant vous avez à votre disposition un logiciel Web qui fait du traitement de texte, un qui fait des calculs, un calendrier…et un système de courrier. Voila en bref qui résume l’utilisation moyenne que font les gens de leur ordinateur.

Vous allez dire : qu’est-ce qui en fait un Système d’exploitation ? Elle est là la grande nouveauté : Google a multiplier les API (Application Programming Interface) au cours des derniers mois permettant au programmeur Web d’intégrer les applications de Google dans n’importe quel site Web. Du calendrier aux nouvelles en passant par des listes de résultats de recherche ainsi que les cartes… Il est maintenant possible de programmer en quel que sorte la Plateforme Google !

Vous pouvez faire un site Web maintenant 100 % Google sans enfreindre le moindrement le droit d’auteur. Vous n’avez même pas besoin de créer du contenu, Google le met à jours à votre place.

Nous sommes donc rendu là : programmer des partie d’Internet qui s’alimente d’Internet. Voila un niveau de plus dans la complexité de l’information. Les systèmes de compostage automatiques créeront de plus en plus des nouvelles données à partir de la sphère Internet.

Dire que Microsoft en est encore à essayer de damer le pion de la recherche. Google est en train de lui damer le pion très tranquillement des logiciels de bureautiques ainsi que système d’exploitations.

Il faudra tranquillement changer notre perception des composantes logiciel que nous utillisons. Le Web est déjà devenu une plateforme logiciel en soit, il ne restera plus qu’a concevoir les services Google et autre comme des Système d’exploitation de l’Internet.

mardi 27 mars 2007

Pour Gagner sa vie avec Adsense et un bon site Web de contenu.

Comme plusieurs Webmaster j’ai un site Web sur lequel figure de la publicité provenant de Google Adsense et comme plusieurs il m’arrive de rêver et penser qu’un jour mon site fournira assez de revenu pour que je puisse en faire mon gagne pain.

Pour ce faire, comme il se doit, j’ai consulté beaucoup de forums sur le sujet et lu de nombreux comptes rendu d’éditeurs décrivant leurs sites, le nombre de pages vues.. de visiteurs et finalement de revenu Adsense.

Pour arrêter de rêver, j’ai décidé de faire des calculs pour savoir si il serait vraiment possible un jour, d’atteindre mes objectifs. Je vous fais part ici de mes extrapolations.

Premièrement, établissons qu’une page de contenu de 1000 mots (environ deux pages) selon mes estimations, attire en moyenne 7 visiteurs par jour (je dis bien en moyenne, tout dépend de la nature du contenu) Reste que cette estimation part d’une moyenne effectuée sur des sites divers, de hautes technologies, aux sciences humaine en passant par un texte sur la vie courante posté sur un blogue. De 7 pages vues par jours pour nos mille mots nous en arrivons à 210 par mois et 2520 par année.

Basé sur un CPM moyen de 2,40 on peut donc dire que notre page générera un revenu de 6 dollars US par année.

Nous voila peut avancé… ce montant est loin de pouvoir faire vivre qui que ce soit, même un habitant de Tanzanie vit avec 340 $ par année alors nous somme loin du compte.

Hors comme tout bon gestionnaire de site Web, notre travailleur imaginaire produit bien plus qu’une page de 1000 mots par année. Imaginons qu’il soit très inspiré et qu’il produit 260 textes de 1000 mots par année, soit un par jour excluant les fins de semaine. C’est beaucoup mais très faisable si on y consacre quel que heures pars jour, ce que plusieurs font sur leur site Web.

Nous en somme donc après un an à un potentiel cumulatif de 260 * 2520 pages, ce qui nous donne ici 655 200 pages vues ou un montant, toujours selon le même CPM, de 1596,48. Voila qui est déjà mieux mais qui s’aurais s’en contenter? Pour vivre avec ce revenu il faut déménager dans un pays comme le Nicaragua …et encore, rien dans votre quotidien ne serait luxueux.

Cependant, j’allais oublier quel que chose. Si votre site Web est bien fait, les visiteurs ne se contenteront pas de tomber sur cette page et de quitter à tout jamais votre site. Ils consulterons d’autre pages !. Selon une moyenne bien approximative, 5 pages par visite est un très bon chiffre. Nous voici donc avec non pas 655 200 pages vues mais bien 3 276 000 pages vues…. Cinq fois plus. Faisons simple : et multiplions le revenu calculé précédemment par 5. Nous obtenons ainsi 7982,40 dollars. Pas mal, pas mal. N’oublions pas cependant qu’il faille consacrer pour cela de 3 à 5 h par jours, 250 jours par année !

Alors voila, reste plus qu’à multiplier ce nombre pour avoir le salaire qui vous conviendra. Pour faire simple, disons en conclusion qu’il faut travailler 4 bonnes années entre 3 et 5 h par jours sur son site Web pour avoir le contenu nécessaire pour produire un revenu Adsense d’environ 32 000 USD. Au Travail!